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A winter night
20 juin 2013

Lectures

La suite de mon compte-rendu...

 

dolmen

J'ai aimé : pas du tout, non. On sent que ça a été écrit comme un scénario à rebondissements, mais du coup j'ai arrêté d'y croire assez vite. Le roman a été adapté en téléfilm "de l'été" je ne sais plus quelle année. Je ne l'avais pas regardé, mais mon Homme a fait le lien quand je lui ai parlé de l'histoire.
J'ai moins aimé : ce qui ne fonctionne pas pour moi à la télévision ne fonctionne pas non plus quand je le lis. C'est breton bretonnisant, j'adore la Bretagne mais là on sombre dans la caricature. L'intrigue est complètement improbable, on devine la fin beaucoup trop tôt... Je continue ?
Lire d'autres livres de ces auteures ? Je passe.

 

grue

4e de couverture : Lorsqu'il rejoint son poste, aux confins de l'empire vietnamien du XVIIe siècle, le mandarin Tân ne sait pas encore que les familles de notables n'ont qu'une idée en tête : le marier à leurs filles nubiles. Cependant le jeune homme n'a guère le temps de se prêter à ces jeux sociaux, car il se voit bientôt confronté à sa première affaire de magistrat. Une succession de meurtres aussi cruels qu'inexplicables le conduit à s'intéresser de près à un ordre de moines plus férus d'arts martiaux que soucieux de la loi de Bouddha. Aidé de son ami le lettré Dinh, il lui faudra parcourir les montagnes embrumées du Nord et déployer toute son ingéniosité pour mener à bout son enquête, dont la solution au goût amer est un défi à son sens inné de la justice.
Quand il s'agit de créer l'étoffe d'une histoire, quatre mains peuvent tisser une trame plus élaborée que deux. C'est en s'inspirant de leur aïeul maternel que les sueurs Tran-Nhut - l'une est physicienne, l'autre ingénieur d'une grande université américaine - ont imaginé le personnage du mandarin Tân, en convoquant les mille et un détails d'un passé révolu et de ses légendes, avec un évident plaisir d'écriture.

J'ai aimé : aaahhhhh, cette ambiance... L'impression de se retrouver là-bas, dasn la pays de mes rêves (je ne crois pas vous avoir déjà dit que je rêve de vivre au Viêtnam). Les personnages sont intéressants, les sujets très bien documentés, avec les références bibliographiques en fin d'ouvrage. J'ai adoré.
J'ai moins aimé : rien.
Lire la suite ? c'est déjà en route.

 

thilliez

4e de couverture : En pleine nuit, au mileu de nulle par, un homme surgit et se fait renverser. A ses côtés, un sac rempli de billets. Voleur ? Trafiquant ? Peu importe. Deux millions d'euros, là, àportée de main. Aucun témoin. Que faire ? Appeler la police, ou disparaître avec l'argent ? Vigo et Sylvain, jeunes informaticiens au chômage, ne tardent pas à se décider.
Le lendemain, une fillette aveugle est retrouvée morte dans un entrepôt. Peu après, une autre est enlevée. Diabétique. Ses heures sont comptées.
Et si le magot n'était autre que la rançon destinée à sauver la vie d'une gamine ?

J'ai aimé : les descriptions du Nord, très évocatrices. L'enquêtrice aussi, à laquelle je me suis facilement identifiée car elle est mère.
J'ai moins aimé : le style lapidaire. Les phrases courtes. Hachées. Qui ne me permettent pas de respirer. Je ne suis pas une grande fan de ce style, même si je dois lui reconnaître son efficacité. Heureusement, le livre est équilibré et ces passages ne sont pas trop nombreux.
Lire la suite ? Oui.

"pas possible ! Non ! Il... il n'a pas pu te voir ! Imagine la honte !
Les poils de ses avant-bras se hérissèrent.
- Je... J'arrive capitaine ! Je m'habille ! Pre... prenez un café dans la cuisine !
Une orange épluchée le reste définitivement, même s'il nous prend l'envie de remettre maladroitement la pelure pour manger le fruit plus tard. Lucie était une orange pelée..." 
p.128-129

 

vengeance

4e de couverture : Tragique existence que celle de Tirius Brakhan.
Recueilli par le frère de l'impérator après le massacre de sa famille, le jeune Ishwen, accusé d'un crime qu'il n'a pas commis, revient à Dat-Lakhan pour demander réparation. Mais l'envahisseur Senthaï est déjà là. Réhabilité et nommé général, Barkhan tente de repousser ses asssauts. Et meurt sur le champ de bataille, victime d'un complot.
Du moins, c'est ce qu'on raconte...
Car aujourd'hui, un nouveau guerrier se présente aux portes de la ville, et Vengeance est le nom de son épée. Vengeance ! Vengeance pour la mort de Barkhan !

J'ai aimé : bien écrit, comme toujours avec Fabrice Colin. Les codes du genre sont bien respectés, l'histoire ficelée comme il faut, c'est à dire sans trop de suspens.
J'ai moins aimé : ce n'est pas le type de livre que je préfère, l'héroïc fantasy ne fait pas assez appel à mon côté féminin, mais j'ai lu le livre en connaissance de cause.
Lire d'autres livres de cet auteur ? je persiste, comme je vous le disais ici. Ce livre était dans ma bibliothèque, mais je ne l'avais pas encore lu. Ou alors je ne m'en souvenais pas...

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